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GALERIE DES PEINTURES











    LES TROIS PHASES DE LA PEINTURE DE ZENDEL.

Période classique
Cette première manière, relativement classique mais nimbée d'une atmosphère étrange et parée de tons sourds et raffinés, prend forme dans les années 30. C'est la plus courte.

Période post-cubiste
Cette deuxième manière, influencée par le Cubisme, mais également par le Fauvisme, et dont les compositions prennent parfois un caractère monumental, durera des années 40 jusqu'au milieu des années 50.

Période de Clamerey
Enfin, la troisième manière, d'une durée de très loin la plus longue, représente l'épanouissement de ses recherches et comporte notamment un travail tout à fait exceptionnel sur la matière. Elle s'étend du milieu des années 50 à la fin.

Il existe bien entendu des oeuvres intermédiaires que nous devrons aussi classer dans l'une de ces trois périodes.

la belle écuyère  
   
LES TROIS THEMES.

Intérieurs
On pourrait dire de Zendel que la nature morte est le coeur vivant de son oeuvre. Rien n'est plus éloigné de la morosité que ses intérieurs vibrants d'intensité où fleurs, fruits, instruments de musique parfois, scandent les heures éblouissantes que certaines demeures ont le pouvoir de ravir au monde.

Personnages
Le clown blanc, d'abord. Omniprésent. Qui sait? Peut-être un autoportrait? Ou alors les écuyères en orbite sur les sables du cirque, les arlequins piégés dans les feux de la rampe, les masques énigmatiques, les odalisques au regard qui s'égare vers de lointains ailleurs, et puis les athlètes aussi. Une fascination lancinante pour le spectacle. Ou encore la Femme. Parfois bizarre, parfois sublime. A sa fenêtre, à son piano. Omniprésente, elle aussi.

Extérieurs
Il est grand temps de prendre l'air, d'aller respirer les embruns sur les plages pavoisées de Normandie ou peut-être un soir au bord de la Lagune, de battre la campagne à travers la Bourgogne, ou de passer son nez par une fenêtre grande ouverte pour adorer Paris et sa belle amie la Seine. La fenêtre. Un leitmotiv qui n'en finit pas de s'ouvrir sur un monde qui pourrait être le nôtre.